Watt : un spectacle de rue, qui se joue à 360°
Sur une surface d’environ 11m de diamètre
Durée : environ 50’

Dans un jeu teinté d’humour, entre gestes, volumes et objets, les corps mis en scène organisent leurs mouvements autour d’une originale conception de l’espace :
Un parquet constitué d’une vingtaine de petites palettes mobiles, superposables et luminescentes.

La scénographie permet ainsi d’organiser la géométrie du plateau de danse, qui devient un charmant échiquier, un damier plein d’agrément, où de différentes manières, luminaires et matériaux utilisés concentrent la lumière en faisceaux, la dispersent, la réfléchissent... ombres et lumières y créent des espaces qui élargiront le décor...
La mobilité du parquet devient un véritable jeu de construction, le décor une architecture ambulante.
Mais la géométrisation du sol ne se réduit pas à une construction de volumes, elle offre une lecture des liens unissant le danseur et son environnement.
La scène apparaît alors comme une structure rythmique,à travers laquelle se compose et s’élabore le mouvement dansé.
Tenter de faire du matériel de scène un élément actif ; un accessoire utile, acteur et détonateur d’événements.
Soit une tentative pour explorer l’essence de l’accessoire en tant qu’initiateur de mouvements.